Les Automnales

yéééé trop la classe mister low!

mdrrrrrrrrrr la 2eme EXCELLENTE je dois admettre que Matt joue à la perfection le rôle de public. Et alors là je vois à quel point l'ambiance pouvait être mauvaise (sans vous of course) et c'est déprimant

Yeah Mat !!!!!

J'étais trop occupé à massacrer Cliché pour suivre tes facéties (l'objet unique de ce post consistait à caser un mot du XIXe siècle) !

J'avais même pas calculé !

tinkiéte paupiette on en fera d'autre et se coup la ta maman poura pa dire non! lol

ouais un peu mon neveu en plus je ne me retrouve plus seule sur cette histoire vu que moi aussi j'adore de temps à autre sortir des mots de la langue soutenue comme on disait à l'école (ahh elle me semble bien loin d'ailleurs mdrrr)

Spéciale dédicace à Caribou, le faux auvergnat qui confont Forez et Combraille mais à qui ont pardonne tout s'il aime les mots du XIX :

Lucien de Rubempré - Chardon, du nom de son père pharmacien -, jeune angoumoisin ambitieux et idéalement beau, monte à Paris pour y chercher la gloire littéraire. Dangereusement adulé par les siens - sa sœur ; son meilleur ami et futur beau-frère, il rejoint la capitale sans aucune idée des difficultés qui l'attendent. Il y perdra ses illusions en découvrant toutes les bassesses du milieu de l'édition. Finalement, il optera pour le journalisme qui lui semble rémunérateur et lui procure une gloire illusoire et toute temporaire. Suite à des intrigues politiques que sa naïveté et son orgueil n'ont pu lui permettre de prévoir, Lucien se retrouve condamné à la misère et cause la ruine des siens. Il revient à pied dans son Angoulême natale, où il tentera en désespoir de cause de se suicider. Il est sauvé par l'apparition impromptue du prétendu abbé Carlos Herrera - qui n'est autre que le forçat Vautrin, ainsi que nous l'apprendra la suite de son histoire, qui se poursuit dans Splendeurs et misères des courtisanes -.
Un vrai délice, n'es-ce-pas ?

caribou is cool a écrit:

Yeah Mat !!!!!

J'étais trop occupé à massacrer Cliché

Spéciale dédicace à Caribou II (c'est pas Caribou qu'est II, c'est la dédicace)
Non Caribou tu ne massacres jamais cliché même si je préfére quand Ben T l'interprete en version récital de piano ; mais bon c'est normal Ben T pratiquait Litz et Malher avant de savoir marcher ! remarque çà lui a laissé du temps.

Non en fait je crois que j'ai fait une connerie et je sais pas comment la rattraper. Je suis en train de m'enferrer (de la reine)