BRUCE A BERCY 58 ans et toutes ses dents

C'est pas de moi d'ou les guillemets mais ça résume mon état d'esprit. J'en ai les larmes aus yeux et des frissons rien que d'y penser.

"Démarrage sur les chapeaux de roues avec "Radio Nowhere", extrait de son dernier album "Magic". Et l'enchaînement se fait à fond la caisse : "Night", pépite datant de 1975, puis "No Surrender", de l'album "Born in the USA", qu'on ne présente plus. Arrive alors "Reason to Believe", de l'album "Nebraska", triste et sublime balade folk, littéralement métamorphosée en riff éléctrisant et fédérateur. Il est 21h, le Boss joue depuis 20 minutes : le pari est déjà gagné.
S'ensuivent des perles trop rarement livrées : "Because the Night", tube mythique de Patti Smith que Springsteen avait repris dans les années 80 ; "The River", peut-être l'une de ses balades les plus poignantes. Mais également, quelques nouveaux titres du Boss, qui ne font pas toujours l'unanimité...Qu'importe, dès que "Mighty" Max Weinberg, à la batterie, commence "Badlands", le délire reprend instantanément. Avec l'enchaînement classique de morceaux "à boeuf" : "The Promised Land", "The Rising", et l'inévitable hymne springsteenien "Born to Run".

Ce qu'il y a de beau avec Springsteen, c'est qu'on se fiche de s'ennuyer pendant une ou deux chansons : lorsqu'il chante avec "Little Steven" Van Zandt, son pote depuis qu'ils ont 15 ans; lorsque le "Big Man" Clarence Clemons fait résonner la salle et les 15 000 personnes avec son saxo sur "Jungleland" et son solo sublime, on lui pardonne ses quelques faiblesses musicales.
Et lorsqu'il habille tout son groupe avec des bonnets de Père Noël, pour un final en fanfare avec "Santa Claus is Coming to Town", on ne peut que dire : "Thanks Bruce" ! "
Je vais vous envoyer qq photos via les mails perso ; si elle vous plaise vous pouvez les mettre en ligne moi je peux pas.

C'est plus que terrible. C'est une boule au fond de la gorge, les yeux mouillé. J'ai roulé ma bosse (jeu de mot totalement involontaire) j'avais jamais ressenti une émotion pareille et une fusion entre un chanteu et son public.
pour les photo ce ne sont que des copies mais je t'envoie ça

ooo ouiiiiiiiiiiii en effet ca avait l'air trop bieeeeeeeen!!!!

Il me semblait bien que la springsteenite aigue devait se transmettre de génération en génération !

Tout mauvais esprit mis à part, c'est vrai que The River, ça devait méchamment le faire.

Yes sire et plus que ça même.
Et comme un bonheur n'arrive jamais seul, après avoir terminé l'année en beauté avec Bruce et the summun of pop, l'année 2008 s'annonce très prometteuse. J'ai RV le 15 février prochain au Grand Rex avec ce bon vieux Neil Young. Je t'en donnerai des nouvelles.
J'en profite pour souhaiter un très bonne année à mon Caribou préféré.

et qui c'est qui va en profiter pour voir mamba du coup??????????? hehe^^

Le grand Rex c'est à Paris
C'est là où Indo avait fini le Paradize Tour (et j'avais pas eu de places :snif:)