Help Coco And June!

A rien ft du tt Mamba, a tt copier. A juste eu l'idée de ch à aller chercher.

oui mais c'est qd meme une riche idée madame!! congrat'!

yes it is miss; thinks for the congrat'

a vi trés bonne idée

He les biquettes, avec le matos qu'on a mis à votre disposition on pourrait peut-être savoir où vous en êtes de vôtre boulot de TPE

IL FAUT PRO-BLE-MA-TI-SER VOTRE SUJET (en mode petage de cable apres imitation d'une de mes profs)!!!!!!!!!

Je te recherche ça.

Born down in a dead man's town
The first kick I took was when I hit the ground
You end up like a dog that's been beat too much
Till you spend half your life just covering up

Born in the U.S.A.
I was born in the U.S.A.
I was born in the U.S.A.
Born in the U.S.A.

Got in a little hometown jam
So they put a rifle in my hand
Sent me off to a foreign land
To go and kill the yellow man

Born in the U.S.A.
I was born in the U.S.A.
I was born in the U.S.A.
I was born in the U.S.A.
Born in the U.S.A.

Come back home to the refinery
Hiring man says "Son if it was up to me"
Went down to see my V.A. man
He said "Son, don't you understand"

I had a brother at Khe Sahn fighting off the Viet Cong
They're still there, he's all gone

He had a woman he loved in Saigon
I got a picture of him in her arms now (...)"

Paroles de Born To Run
In the day we sweat it out on the streets
Of a runaway American dream
At night we ride through mansions of glory
In suicide machines
Sprung from cages on Highway 9
Chrome-wheeled, fuel-injected
And steppin' out over the line
Oh, baby this town rips the bones from your back
It's a death trap, it's a suicide rap
We gotta get out while we're young
'Cause tramps like us, baby we were born to run

Wendy, let me in, I wanna be your friend
I wanna guard your dreams and visions
Just wrap your legs 'round these velvet rims
And strap your hands 'cross my engines
Together we could break this trap
We'll run till we drop, baby we'll never go back
Oh, will you walk with me out on the wire
'Cause baby I'm just a scared and lonely rider
But I gotta know how it feels
I wanna know if your love is wild
Girl, I wanna know if love is real

Beyond the palace hemi-powered drones
Scream down the boulevard
Girls comb their hair in review mirrors
And the boys try to look so hard
The amusement park rises bold and stark
And kids are huddled on the beach in the mist
I wanna die with you Wendy on the streets tonight
In an everlasting kiss

One, two, three, four
Highway's jammed with broken heroes
On a last-chance power drive
Everybody's out on the road tonight but
There's no place left to hide
Together Wendy we can live with the sadness
I'll love you with all the madness in my soul
Oh, someday girl I don't know when
We're gonna get to that place where we really wanna go
And we'll walk in the sun
But till then tramps like us, baby we were born to run
Tramps like us, baby we were born to run
Come on Wendy, tramps like us
Baby we were born to run
Whoa, ooh
Oh, oh, oh, oh
Whoa, whoa, whoa
Ooh
Whoa, whoa, whoa
Whoa, whoa, whoa
Whoa, whoa, whoa.

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La route vers le triomphe : chroniques des désillusions du rêve américain

Chronique enflammée et lyrique de la journée d’un adolescent désespéré, et premier élément constitutif d’une série qui s’achève avec Born in the USA, l’album Born To Run (1975) offre à Bruce Springsteen son premier véritable succès. Portraitiste d’une jeunesse insouciante et pourtant confrontée aux douloureuses réalités de la vie quotidienne, dans une société américaine ballottée par les problèmes économiques et traumatisée par la guerre du Viêt Nam, l’artiste propose le voyage et la fuite (notamment le long des autoroutes américaines, symboles d’un espace de liberté illimité) comme thérapies à un monde oppressant et injuste. Plus incisif, doté d’arrangements dominés par les guitares et d’une sonorité délibérément plus rock, Darkness on the Edge of Town (1978) évoque les mêmes thèmes que son précédent album, dans une veine plus sombre et mélancolique cependant : l’espoir présent dans une chanson comme « Born To Run » — dont le titre lui-même (« né pour avancer ») constitue une déclaration de combat et de résistance — a cédé la place à un réalisme implacable, et d’autant plus inquiétant. Double album, The River (1980) remporte pour sa part un succès populaire considérable, qui permet à Bruce Springsteen d’accéder au rang de star de la scène rock internationale.

Enregistré sur un magnétophone 4 pistes dans une chambre d’hôtel, sans le E Street Band, Nebraska (1982) est aujourd’hui unanimement considéré comme l’un des meilleurs albums de Bruce Springsteen. Intimiste jusqu’à l’étouffement, tant dans la forme minimaliste — une guitare acoustique, un harmonica et le chant plaintif du Boss (ou « patron », surnom communément donné à Bruce Springsteen dès le début de sa carrière) — que dans le fond, d’une violence intérieure paroxystique, le disque dresse un portrait sans fioritures ni compromis de l’Amérique des déracinés et des rêves brisés.

Le contraste avec l’album suivant, Born in the USA (1984), est saisissant. Mal interprétée, en apparence simpliste et d’un patriotisme arrogant, la chanson-titre range Bruce Springsteen dans le camp des adeptes du reaganisme triomphant. Toutefois, derrière des arrangements particulièrement puissants et expressifs, et un chant volontaire, se cache à nouveau la description d’un mal qui ronge un pays se revendiquant pourtant haut et fort première puissance mondiale, en l’occurrence la culpabilité et le sentiment d’inutilité des vétérans du Viêt Nam. Composé de dix chansons et autant de tubes potentiels (« Cover Me », « Dancing in the Dark », « Glory Days » ou encore « I’m on Fire »), Born in the USA est l’album de la consécration internationale pour Bruce Springsteen, qui entame alors une tournée gigantesque à travers le monde et ne peut que constater son immense popularité.

5. Le porte-parole d’une « autre » Amérique

Après plusieurs années de retrait et de discrétion par rapport à la scène rock internationale, Bruce Springsteen est interpellé dans son rôle d’artiste par les attentats du 11 septembre 2001 ; par « devoir » envers son public et son pays, mais souhaitant également apporter son propre témoignage sur les événements et leurs répercussions profondes sur le peuple américain, le « Boss » réunit ainsi le E Street Band — l’artiste et le groupe n’avaient plus collaboré à la réalisation d’un album studio depuis Born in the USA (1984) — et enregistre The Rising (2002) dans l’urgence. Fondé sur des compositions tour à tour intimistes et plus enlevées — l’inspiration musicale, de facture relativement classique, n’est cependant pas ici primordiale, le contenu émotionnel des chansons constituant la véritable motivation d’un tel disque —, l’album est un vibrant hommage aux victimes des attentats et aux sauveteurs (notamment les pompiers de New York) : selon un schéma éprouvé de destins individuels participant de l’histoire collective, Bruce Springsteen tente de décrire avec sobriété le courage des uns, la douleur, le deuil et le sentiment d’absence des autres, l’incompréhension et l’impuissance de tous face au traumatisme psychologique.

Engagé aux côtés du sénateur démocrate John Kerry lors de la campagne présidentielle américaine de l’automne 2004, Bruce Springsteen donne une traduction artistique à ses opinions politiques dans Devils and Dust (« démons et poussière », 2005) : il évoque ainsi notamment la guerre en Irak et l’émigration mexicaine vers les États-Unis, proposant une fois encore un portrait sombre et désabusé de l’Amérique ; musicalement, l’album s’inscrit dans la lignée folk et minimaliste de Nebraska et The Ghost of Tom Joad. Puis, après We Shall Overcome: The Seeger Sessions (2006), hommage appuyé et énergique à Pete Seeger (figure emblématique de la musique folk et de la contestation sociale et politique américaines), Magic (2007) synthétise les différentes facettes thématiques et musicales de Bruce Springsteen, qui poursuit sans relâche sa chronique à la fois politique et humaine d’une Amérique livrée à ses doutes.

bravo mamba!!!

Paroles de Devils & Dust
I got my finger on the trigger
But I don't know who to trust
When I look into your eyes
There's just devils and dust
We're a long, long way from home, Bobbie
Home's a long, long way from us
I feel a dirty wind blowing
Devils and dust

I got God on my side
And I'm just trying to survive
What if what you do to survive
Kills the things you love
Fear's a powerful thing, baby
It can turn your heart black you can trust
It'll take your God filled soul
And fill it with devils and dust

Well I dreamed of you last night
In a field of blood and stone
The blood began to dry
The smell began to rise
Well I dreamed of you last night, Bobbie
In a field of mud and bone
Your blood began to dry
And the smell began to rise

We've got God on our side
We're just trying to survive
What if what you do to survive
Kills the things you love
Fear's a powerful thing, baby
It'll turn your heart black you can trust
It'll take your God filled soul
Fill it with devils and dust
It'll take your God filled soul
Fill it with devils and dust

[Harmonica solo]

Now every woman and every man
They wanna take a righteous stand
Find the love that God wills
And the faith that He commands
I've got my finger on the trigger
And tonight faith just ain't enough
When I look inside my heart
There's just devils and dust

Well I've got God on my side
And I'm just trying to survive
What if what you do to survive
Kills the things you love
Fear's a dangerous thing
It can turn your heart black you can trust
It'll take your God filled soul
Fill it with devils and dust
Yeah it'll take your God filled soul
Fill it with devils and dust

Je sais plus si je l'ai mis celle là de toute façon vous avez toutes les réf sur le texte que je vous ai envoyé par mail

Enfin, on ne peut pas parler de chansons contre la guerre sans évoquer la magnifique chanson « Find the cost of Freedom » de Crosby, Stills, Nash and Young ( oui, Neil Young) ; Le titre parle de lui-même. C'est une chanson très poétique, les paroles sont très fortes, la dénonciation, faite sur le mode du pathétique et de l'émotion n'en est que plus poignante !

« Find the cost of freedom, buried in the ground » (Trouve le prix de la liberté, enfoui sous la terre ) Cliquez ici

Des soldats, des hommes, des amis sont morts pour la liberté à laquelle ils aspiraient tant.

La force de cette chanson réside dans sa poésie mais aussi dans sa brièveté. La musique est également à même de susciter cette émotion : à la fois lente et pénétrante, douce et mélancolique, ses accents tragiques ne font qu'amplifier la dureté des paroles ; C'est, à mon avis, un vrai poème, où les mots et la mélodie ne font qu'un.

On constatera que ce texte revêt même à certains moment une réelle dimension universelle…

Donc les biquettes y a aussi Neil Youg

Find The Cost Of Freedom de Still, Crosby, Nash & Young
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Daylight again, following me to bed
I think about a hundred years ago, how my fathers bled
I think I see a valley, covered with bones in blue
All the brave soldiers that cannot get older been askin' after you
Hear the past a callin', from Ar- -megeddon's side
When everyone's talkin' and noone is listenin', how can we decide ?


( Do we ) find the cost of freedom, buried in the ground


Mother earth will swallow you, lay your body down
Find the cost of freedom, buried in the ground
Mother earth will swallow you, lay your body down
( Find the cost of freedom buried in the ground )


Allez j'arrête je suis fatiguée et j'ai pas fini mon boulot à moi.
Au boulot les biquettes

Je vous ai envoyé un petit rab sur vos mails.

Bon WE a toutes et tous

Ouais Crosby Stills Nash & Young ! Raaahhh j'adore cette periode : Dylan, Young, CSNY, ...

Je trouve ça énorme votre sujet de TPE... je me rappelle que le mien c'était sur le jumelage et l'oral était bien nul par rapport à tout le boulot qu'on avait fait... En plus le thème était un peu imposé quand même et les profs n'aimaient pas trop que ça sorte un peu trop du cadre scolaire alors faire un TPE dans le domaine de la musique, je ne crois pas que ça aurait été possible, malheureusement....